Mon travail porte sur les pratiques de conservation et d’archivage de l’art de la performance par les institutions muséales et plus spécifiquement sur la mise en place de protocoles documentaires. Par le prisme d’une approche comparative entre la France et le Québec, il ambitionne, à travers plusieurs études de cas, d’interroger les spécificités notamment matérielles et ontologiques de l’art de la performance entrainant un potentiel renouvellement des pratiques documentaires et curatoriales.