Date : 23 juin 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
Soutenance de la thèse de doctorat de Giulia Brusori:
Nicolò dell’Abate en France: dessins et projets décoratifs. Proposition pour un catalogue.
Sous la direction de: Sonia Cavicchioli et Sabine Frommel.
Jury: Sonia Cavicchioli, Sabine Frommel, Emmanuelle Brugerolles, Alessandro Rovetta, Carmelo Occhipinti
23 juin 2022, 15h00, Università di Bologna, Dipartimento di Santa Cristina della Fondazza, Sala Riunioni, 40125, Bologna.
Chercheur(s) Intervenant(s)
Grand oral vendredi 10 juin 2022 :
Grand oral samedi 11 juin 2022 :
Date : 29 mars 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
Sous la direction de Mme Sabine Frommel (École Pratique des Hautes Études)
Jury :
M. Frédéric Chappey (Université de Lille)
M. Martin Mádl (Ústav dějin umění Akademie věd ČR)
Mme Ingeborg Schemper (Universität Wien)
Date : 24 mars 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
sous la direction de Mme Sabine Frommel (EPHE-PSL) et Mme Stefania Macioce (Sapienza Università di Roma)
Date : 17 mars 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
Soutenance de thèse pour obtenir le grade de
Docteur en histoire de l’art de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes – PSL
Dottore di ricerca in Beni Architettonici e Paesaggistici del Politecnico di Torino
Présentée et soutenue publiquement par Federico Manino
sous la direction de Mme Sabine Frommel (EPHE-PSL) et M. Francesco Paolo Di Teodoro (Politecnico di Torino)
Date : 23 novembre 2021
Chercheur(s) Intervenant(s)
Christian Hottin a soutenu sa thèse de doctorat en histoire le mardi 23 novembre 2021, Les patrimoines de l’enseignement supérieur à Paris (fin XVIIIe-XXe siècles) préparée sous la direction de M. Jean-Michel LENIAUD. Le jury était composé de M. Jean-Michel LENIAUD, Mme Rossella FROISSART, Mme Florence DESCAMPS, M. Nicolas ADELL, M. Loïc VADELORGE, Mme Anne-Marie CHATELET.
Résumé :
Dans la continuité de notre thèse de l’Ecole des chartes soutenue en 1997 (le patrimoine des établissements d’enseignement supérieur à Paris, vers 1780 – vers 1960) et de nos publications réalisées depuis (monographies, directions d’ouvrage, directions de numéros de revues, articles, commissariats d’exposition), on se fixe pour objectif dans le cadre de ce doctorat : d’une part de dresser une synthèse des patrimoines des universités et grandes écoles à Paris : architecture, peintures, sculptures, monuments épigraphiques, patrimoine matériel et immatériel ; d’autre part de faire un retour réflexif sur ce parcours de recherche de plus de vingt ans, conduit entre le monde de l’enseignement supérieur et celui de la conservation du patrimoine. Le parcours réflexif permet en premier lieu d’analyser la spécificité de la thèse de l’Ecole des chartes dans le paysage académique français. Travail académique ayant un lien étroit avec une finalité professionnelle. La question du choix du sujet, avec les difficultés qu’elle entraine est abordée en premier lieu. On se focalise ensuite sur le sujet choisi, la définition de son périmètre, le cadre institutionnel et chronologique finalement retenu. Est ensuite abordé le temps de préparation de la thèse, celui des dépouillements archivistiques et bibliographiques associés aux visites de site, et, enfin, celui de la rédaction du DEA, puis de la thèse proprement dite. La suite du développement permet d’aborder les autres projets de recherches développés à partir de cette thèse de l’Ecole des chartes : projet de recherche sur les salles de garde des hopitaux, recherche sur le transfert des grandes écoles de Paris vers la périphérie, recherches plus générales sur l’architecture des établissements d’enseignement supérieur, jusqu’à la préparation d’un ouvrage consacré à l’architecture de la Sorbonne et de ses extensions au XIXe et XXe siècle. En miroir de ce parcours réflexif, est proposée une histoire du patrimoine de l’enseignement supérieur au cours de ces deux mêmes siècles : depuis les destructions et appropriations révolutionnaires jusqu’à la recréation de l’Université de Paris pour le XIXe siècle, puis, au XXe siècle, depuis la remise en cause des « palais universitaires après 1945, jusqu’au développement des politiques patrimoniales de la fin du XXe siècle. En conclusion de cette histoire est proposé un développement spécifique sur ce qui fait patrimoine au sein de l’Université contemporaine, avec un intérêt particulier pour la question du patrimoine culturel immatériel de celle-ci.