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Chercheur(s) Intervenant(s)
Co-Intervenant(s)
Depuis le milieu du XXe siècle, de nombreuses institutions scientifiques, muséales et culturelles se sont engagées dans
la production de contenus sonores ou audiovisuels sur l’art – cours, conférences, colloques, entretiens, interviews,
séries documentaires, etc. – dont l’apport à l’histoire de notre discipline réclame une analyse approfondie. Ce séminaire
souhaite mettre à l’honneur cette forme singulière de construction des savoirs en explorant les enjeux
historiographiques, institutionnels et patrimoniaux à l’oeuvre dans la constitution, la conservation et la valorisation de
ces fonds documentaires. L’étude d’un large panel d’exemples français et étrangers permettra ainsi d’engager une
enquête sur l’histoire et les usages scientifiques de ces ressources, enquête à laquelle seront conviés, au fil des séances,
des universitaires, des acteurs du monde culturel et des professionnels de l’audiovisuel.
La séance du 27 janvier de 10 à 12h est accessible à distance :
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Meeting ID: 386 648 335 955
Passcode: CW2fEs
Chercheur(s) Intervenant(s)
Date : 6 décembre 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
HISTOIRE, LIEUX, ESPACES : LA MISE EN RÉCIT DU PATRIMOINE
Dans le domaine du patrimoine culturel et des musées, le Storytelling, construit une narration stimulant la sensibilité et la raison, et permet l’implication du public en proposant des expériences qui peuvent être transformées en patrimoine mémoriel personnel ou collectif. Au fil du temps, cette narration a pris des caractéristiques internationales de plus en plus marquées: il suffit de rappeler le passage d’une conception du Patrimoine comme expression de l’identité d’un peuple à la prise de conscience de sa valeur universelle selon les intuitions déjà très modernes de Quatremère de Quincy. Puis, au XXe siècle, la Convention de l’UNESCO pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel, dont le 50e anniversaire a été célébré cette année, a constitué un tournant essentiel pour concevoir et raconter, le patrimoine culturel. La narration peut adopter des formes complexes et parfois complémentaires: une expérience immersive peut permettre de compléter la visite traditionnelle des musées et des monuments en créant un partage ou une implication de la part du visiteur. Ainsi, la narration participe aux défis les plus actuels du patrimoine culturel en matière d’inclusion, d’équité et de durabilité, mais aussi à la préservation de la culture matérielle, immatérielle ou du paysage. La technologie a également contribué à donner un nouvel élan à la narration, grâce aux médias audiovisuels et numériques : les musées, les sites archéologiques ou les villes d’art racontent de plus en plus souvent leur histoire, celle de leurs collections, de leur contexte urbain et anthropologique, grâce à la réalité virtuelle et augmentée, ou à des solutions techniques hybrides. La culture, qu’elle soit matérielle ou immatérielle, devient ainsi un «sémiophore» qui accompagne les personnes vers la compréhension et l’interprétation de l’art ou d’un passé archéologique et, et conduit à une compréhension de soi et des autres. La recherche internationale, dont l’atelier est le résultat final, a analysé les formes, les outils et les techniques de narration en faveur des musées et du patrimoine culturel, avec la participation d’historiens de l’art, d’archéologues, d’historiens des musées, d’architectes et de juristes.
Chercheur(s) Intervenant(s)
Date : 28 novembre 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
L’inconnu et l’ailleurs ont depuis toujours exercé une fascination ambivalente sur les civilisations du monde : suscitant des découvertes, mais servant aussi à définir les caractères identitaires d’un groupe par rapport à un autre. Les représentations préconçues de l’ailleurs et des altérités ont surgi de cette opposition entre le « je » et les autres, contribuant généralement – au moins à l’origine – à reléguer ce qui n’appartenait ni à la chrétienté ni au monde occidental, dans une sorte de « géographie des contraires ». De fait, cette représentation du monde reposait sur une hiérarchie mentale selon laquelle certaines cultures auraient eu une priorité sur les autres. Selon la théorie de la géocritique, postulée en 2007 par Bertrand Westphal, les images mentales ainsi créées passent d’une géographie réelle à un espace imaginé, auquel cas il ne serait même pas nécessaire qu’elles soient légitimées par l’expérience directe du voyage ; car toute représentation culturelle traite de l’espace et le transforme. Cette journée d’études envisage d’explorer, dans une perspective diachronique, les mécanismes de création et de développement des images mentales liées à divers espaces et cultures.
LUNDI 28 NOVEMBRE – Matin
9h30-9h50 Ouverture de la journée par Sabine Frommel (EPHE-PSL, HISTARA)
9h50-10h35 Goran Vukovic (Warburg Institut, Londres) : Itineraries of the ancient gods.
10h35-11h20 Rachel Lauthelier-Mourier & Alessia Bauer (EPHE-PSL, HISTARA) : Les images mentales des frontières du monde.
11h20-11.45 Pause-café
11h45-12h30 Émilie d’Orgeix (EPHE-PSL, HISTARA) : Cartographier l’inconnu depuis son cabinet de travail. Jean Auger et ses atlas des villes maritimes au milieu du XVIIe siècle.
12h30-13h15 Eric Grosjean (EPHE-PSL, HISTARA) : Imaginer, représenter, forger l’image des villes: représentation iconique de la ville en Europe occidentale (fin XVe– XVIIIe siècle).
13h15-14h30 Pause-déjeneur
LUNDI 28 NOVEMBRE – Après-midi
14h30-15h15 Clotilde Vivier (alumna HISTARA) : Voyager, représenter et faire mémoire. L’exemple du portefeuille topographique « Beauce et Vendomois » de la collection Gaignières (1642-1715).
15h15-16h00 Olessia Koudriavtseva-Velmans (Sorbonne Université / CNRS) : L’art de la mise en image des voyages et des topographies sacrées (Chamans, Cosmas Indicopleustès, Vassily Kandinsky).
16h00-16h30 Pause-café
16h30-17h15 Corinne Feiss-Jehel (EPHE-PS,HISTARA), Pierre-Jérome Jehel (Gobelins, école de l’image) : La fabrique des images mentales : des stéréotypes aux nouvelles doxas visuelles de l’Irlande.
17h15 Conclusion des travaux
Chercheur(s) Intervenant(s)
Sans être occultée, la question du concours d’architecture semble avoir été largement sous-estimée par l’historiographie contemporaine alors même que ce mode de consultation jalonne l’histoire de l’architecture occidentale, depuis pour ainsi dire le célèbre concours de 1418 organisé en vue de la construction de la coupole de Santa Maria del Fiore à Florence. Ces dernières décennies, l’histoire des concours d’architecture a fait l’objet de plusieurs études dans des généalogies choisies de l’histoire de la modernité qui demeurent extrêmement lacunaires et font délibérément l’impasse sur les formes règlementaires et les appels d’offre, sur les modalités de participation et d’organisation de ces consultations.
L’ambition de ce colloque est de dresser à la fois un état des lieux sur l’histoire des grands concours nationaux et internationaux d’architecture à une échelle de temps long – du XVe au XXIe siècle – d’étudier les modalités d’organisation et de déroulement de ces consultations mais encore d’apprécier leur importance dans l’activité contemporaine des architectes et dans les débats portant sur l’évolution des typologies et des formes architecturales, tout en soulignant les spécificités nationales, qu’il s’agisse de la culture des acteurs – maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre – comme des aspects règlementaires. Le colloque privilégiera plusieurs axes de recherches parmi lesquels la constitution d’un corps règlementaire encadrant cette pratique – dans une perspective comparée à l’échelle européenne –, ainsi que les moyens de communication et de publicité.
Colloque organisé à l’initiative de Sabine Frommel, Benjamin Chavardès et de Philippe Dufieux.
Page du colloque sur le site de Cité de l’Architecture et du Patrimoine :Page des inscriptions :
Chercheur(s) Intervenant(s)
Colloque de la Technische Universität Dresden à l‘Accademia Nazionale di San Luca in Rome, en collaboration avec l‘École Pratique des Hautes Études de Paris (Paris Sciences & Lettres)
HISTOIRE DE L’HISTOIRE DE L’ARCHITECTURE
Genèse et développement d’une discipline scientifique entre perspectives nationales et modèles européens
Comité scientifique : Henrik Karge (Technische Universität Dresden), Sabine Frommel (École Pratique des Hautes Études, Paris Sciences & Lettres) et Claudio Strinati (Accademia Nazionale di San Luca, Rome)
Mardi 8 Novembre 2022, de 9h à 17h45
Mercredi 9 Novembre 2022, de 9h à 17h30
Accademia Nazionale di San Luca, Piazza dell’Accademia di San Luca 77, Roma
Intervenants : Francesco Amendolagine, Barbara Arciszewska, Alexandra C. Axtmann, Marianna Brancia Di Apricena, Antonio Brucculeri, Juan Calatrava, Marianna Charitonidou, Benjamin Chavardès, Giovanna D’Amia, Ute Engel, Péter Farbaky, Gianmario Guidarelli, Bruno Klein, Magdalena Kunińska, Sarah W. Lynch, François-René Martin, Olimpia Niglio, Sergio Pace, Michela Rosso, Ronah Sadan, Gáspár Salamon, Simona Talenti, Tobias Teutenberg.
Entrée libre. Information: henrik.karge@tu-dresden.de, sabinefrommel@gmail.com.
Pour la première fois, le colloque sur l’histoire de l’architecture tentera de comprendre et de décrire l’importance croissante de l’historiographie architecturale en tant que phénomène européen au niveau international. Dans ce sens, les différentes conceptions de cette discipline dans plusieurs pays européens seront examinées, notamment en ce qui concerne les effets réciproques de leurs méthodologies respectives. Des experts renommés d’Italie, d’Allemagne, de France, d’Espagne, du Danemark, de Pologne, de Hongrie et de Grèce apporteront diverses perspectives nationales et supranationales.
Le colloque analysera la genèse et le développement de l’historiographie architecturale dans le panorama des sciences historiques, notamment en relation avec l’histoire de l’art. Il convient ici d’examiner les auteurs de l’histoire de l’architecture : les historiens de l’art, les théoriciens de l’architecture et les architectes praticiens ont chacun développé des perspectives spécifiques. La relation avec la situation sociale et politique du pays concerné est fondamentale. L’histoire de l’architecture a-t-elle contribué au développement d’identités et de stéréotypes nationaux ?
D’autre part, un modèle de développement largement standardisé des styles architecturaux européens a émergé au cours du XIXe siècle, qui a été compris au XXe siècle comme la base de différentes conceptions de la modernité et de l’architecture contemporaine. À cet égard, peut-on saisir les interactions des différents pays, de leurs institutions académiques et de leurs traditions spécifiques ? Enfin, il conviendrait également d’élargir la vision pour inclure des perspectives mondiales sur l’histoire de l’architecture.
Programme
8 novembre 2022
9.00 Accueil et introduction
– Claudio Strinati (Accademia di San Luca, Rome) : Mot d’accueil
– Henrik Karge et Sabine Frommel : Introduction
Construction des histoires de l’architecture nationales I : Italie et Espagne
10.00 Sergio Pace (Politecnico di Torino) : “Toccar la polvere del passato”. Per una storia della storiografia architettonica italiana di primo Ottocento
10.20 Juan Calatrava (Universidad de Granada) : El proceso de construcción de una historiografía arquitectónica en España, 1766-1848
10.40 Discussion
11.00 Pause-Café
Construction des histoires de l’architecture nationales II : Danemarck et Pologne 11.20 Ronah Sadan (Aarhus University) : International Styles and Local Character: Constructing Danish Medieval Architectural History in the Nineteenth Century
11.40 Magdalena Kunińska (Jagiellonian University, Cracow) : A Style as a Tool for Self-differentiation and the Beginnings of the History of Architecture in Poland
12.00 Barbara Arciszewska (University of Warsaw) : Architectural History and Discourse of National Identity in Polish Historiography of the 20th Century
12.20 Discussion
12.40 Pause Déjeuner
Renaissance européenne – Les concepts et leurs créateurs
14.40 Giovanna D’Amia (Politecnico di Milano) : La fortuna di Bramante e dello stile bramantesco nella cultura architettonica del primo Ottocento
15.00 Antonio Brucculeri (École nationale supérieure d’architecture Paris-La Villette) : Rilievi, restituzioni e disegni originali nello sguardo dello storico dell’architettura rinascimentale: Paul Marie Letarouilly e il contributo degli architetti beaux-arts
15.20 Sarah W. Lynch (Friedrich-Alexander-Universität Erlangen-Nürnberg) : What is „German Renaissance Architecture“? The Reception of 16th Century Architecture in Germany and Its Place in Architectural History Today
15.40 Discussion
16.00 Pause-Café
Le baroque européen – Les concepts et leurs créateurs
16.20 Ute Engel (Martin-Luther-Universität Halle-Wittenberg) : An Athletic Art. Italian Baroque Architecture and Bodily Experience in the Views of Cornelius Gurlitt (1887), Heinrich Wölfflin (1888) and August Schmarsow (1897)
16.40 Gáspár Salamon (Humboldt-Universität Berlin) : “Maria-Theresien-Stil”. Architecture, Historiography, and Dynastic Representation in Vienna and Budapest around 1900
17.00 Péter Farbaky (Budapest History Museum) : La prima fioritura della storiografia ungherese dell’architettura: tra le due Guerre mondiali, nel segno del Barocco
17.20 – 17.40 Discussion
9 Novembre 2022
Perspectives européennes des XIXe et XXe siècles
9.00 Alexandra C. Axtmann (Karlsruhe Institute of Technology) : Wilhelm Lübke – Architectural History in the Context of Academic Teaching, Contemporary Discourse and Popular Science at the Rise of a Discipline
9.20 François-René Martin (École du Louvre, Paris) : L’architecture dans l’historiographie française entre 1900 et 1930
9.40 Michela Rosso (Politecnico di Torino) : 1930s’ Tales of English Architecture, and the Emergence of Architectural History in Britain
10.00 Discussion
10.20 Pause-Café
Perspectives italiennes du XXe siècle
10.40 Simona Talenti (Università di Salerno) : La fortuna critica in Italia dello studioso britannico Robert Willis: la diffusione di un pensiero storiografico moderno, tra silenzi, assonanze e riscoperta
11.00 Marianna Brancia di Apricena (Royal Holloway College, London) : La specificità della Scuola italiana di Storia dell’Architettura nel contesto europeo ed internazionale
11.20 Benjamin Chavardès (École nationale supérieure d’architecture de Lyon) : La “scuola romana” : une histoire pour le projet
11.40 Discussion
12.00 Pause Déjeuner
Aspects méthodologiques d’histoire de l’architecture
14.00 Francesco Amendolagine (Università degli Studi di Udine) : L’inquieto rapporto fra materia, tecne e la storia dell’architettura – tre casi esemplari: Bramante nella Sacrestia Milanese, il disegno michelangiolesco 127 A e il progetto di Villa Lippomano attribuito al Longhena
14.20 Tobias Teutenberg (Bibliotheca Hertziana – Max-Planck-Institut für Kunstgeschichte, Rome) : Triangles, Squares and Circles: On the International Reception of Form and Measurement Research
14.40 Gianmario Guidarelli (Università degli Studi di Padova) : Storia dell’architettura e tecnologie digitali: potenzialità narrative e sfida epistemologica
15.00 Discussion
15.20 Pause-café
Aspects généraux de l’histoire de l’architecture
15.40 Bruno Klein (Technische Universität Dresden) : Salite e discese del gotico – la storia di uno stile architettonico differente
16.00 Olimpia Niglio (Università di Pavia / Hosei University, Tokyo) : Il linguaggio sincretico dell’architettura giapponese nella sua evoluzione storica
16.20 Marianna Charitonidou (Athens School of Fine Arts) : Architectural History and Re-inventing Temporal Structures: Beyond Eurocentric Narratives
16.40 Discussion
17.00 – 17.30 Discussion finale
Date : 4 novembre 2022
Chercheur(s) Intervenant(s)
Programme
De Noisy à Versailles : actualité de la recherche autour des Grottes.
La première partie de cette journée est consacrée au château de Noisy et aux Gondi à l’occasion du
500e anniversaire de la naissance d’Albert de Gondi (1522-1602), avec la présentation de recherches archéologiques récentes.
La deuxième partie de la journée poursuit le programme d’étude consacré aux grottes avec un panorama des recherches actuelles sur le développement des grottes aux xvie et xviie siècles.
matin (9h 12h)
Accueil par Marc Tourelle, maire de Noisy-le-Roi
Ouverture par Bertrand Triboulot, archéologue au Service régional de l’archéologie (DRAC Île-de-France)
1ère session 9h30 – 10h30
Bruno Bentz, docteur en archéologie (Omage)
Architecture du château et de la grotte de Noisy : l’apport des fouilles archéologiques
Akane Hori, doctorante en archéologie (Paris 1, Panthéon-Sorbonne ; Omage)
Les matériaux de construction et de décoration de la grotte de Noisy
Christopher Rodolausse, architecte du patrimoine
Couvrir les vestiges de la grotte de Noisy : un projet archéologique et patrimonial
2e session 11h – 12h
Laurence Lindemann, archéologue (Omage)
Les décors peints du château et de la grotte de Noisy : présentation du programme de recherche
Marco Calafati, docteur en histoire
Les modèles italiens des grottes françaises avant 1570
Jean-David Desforges, archéologue (Service archéologique interdépartemental 78-92)
Architecture et paysage : les Gondi à Saint-Cloud
Déjeuner
après-midi (13h30-16h30)
3e session 13h30 – 14h30
Piet Lombaerde, professeur honoraire de l’université d’Anvers
Les grottes des anciens Pays-Bas méridionaux
Dominique de Lastours, historien
Les deux grottes du château de Dampierre (Yvelines) : 1528 et ca 1555
Louise Leates, historienne de l’art
Les grottes architecturales en Provence au xviie siècle : état de nos connaissances
4e session 15h – 16h
Aurélia Rostaing, archiviste paléographe, conservatrice en chef du patrimoine
Les grottes du jardin de Rueil du xviie siècle à nos jours
Annick Heitzmann, archéologue (château de Versailles)
Les grottes de Versailles (Ménagerie, Téthys)
Sabine Frommel, directeur d’étude (EPHE-PSL)
Bilan de la journée : « À propos de la migration des grotteurs en Europe »
17 h
Visite de la grotte sèche du Château-Neuf de Saint-Germain (1599)
18 h 30
Visite de la grotte des anciennes écuries du Château de Maisons (vers 1660)
